Vrai ou Faux ?
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Le dépistage virologique volontaire reste possible à la demande de l'éleveur (en phase 2)
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Vrai
L’éleveur qui se voit proposer une évolution de son mode de surveillance (passage en surveillance sérologique) peut demander à maintenir volontairement le dépistage virologique avec les boucles préleveuses BVD selon des modalités pratiques et financières à étudier avec son GDS.
Ce choix repose sur une analyse de risque complémentaire à celle posée collectivement par le GDS.
A noter que les élevages qui voudront conserver volontairement un dépistage virologique ne sont pas dispensés de suivi sérologique.
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Je peux prendre n’importe quel tube pour fermer le prélèvement.
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Faux
Le tube à utiliser est placé sur le portoir de la boucle correspondante. Le numéro inscrit sur le tube est rigoureusement le même que celui du trocart.
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Le tube doit être clipsé sur le trocart de prélèvement.
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Vrai
La fermeture du prélèvement est indispensable à la bonne conservation de l’échantillon. Le tube est également essentiel pour la réalisation de l’analyse.
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Je dispose d’un délai maximal pour envoyer le prélèvement.
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Vrai
Le prélèvement doit être envoyé au laboratoire sous 48h. Passé ce délai, il peut arriver non analysable au laboratoire.
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Je pose la boucle préleveuse BVD sur l’oreille droite.
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Vrai
Les éleveurs qui disposent des boucles électroniques doivent obligatoirement poser la boucle préleveuse BVD à droite, la boucle électronique étant posée à gauche. Dans tout les cas, même sans la boucle électronique, il est recommandé de poser cette boucle à droite.
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Il vaut mieux que je pose la boucle préleveuse BVD en premier.
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Vrai
Le veau bougera moins au premier bouclage et le prélèvement sera réalisé dans de bonnes conditions.
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Je dois utiliser le pointeau pour poser la boucle préleveuse BVD
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Faux
Le trocart de prélèvement de cartilage fait office de pointeau. Il ne faut pas l’utiliser pour cette boucle sous peine d’abimer le prélèvement et de ne pas poser correctement la boucle IPG.
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Je dois utiliser deux pinces pour identifier les veaux nés.
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Vrai
La boucle préleveuse BVD est à poser avec la pince spécifique (jaune et noir) et la boucle IPG simple est à poser avec la pince traditionnelle.
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Je peux lutter seul contre ce virus.
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Faux
Pour être efficace et durable, l’action doit être collective.
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Il est nécessaire de dépister les avortons et les veaux morts nés avec une boucle de dépistage auriculaire.
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Vrai
Si le résultat obtenu est positif, c’est une information capitale pour la gestion de la maladie dans l’élevage concerné.
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La maladie peut être éradiquée en quelques années sur la zone engagée dans le programme.
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Vrai
Pendant cette période tous les veaux devront être dépistés et les mouvements d’animaux contrôlés et maitrisés.
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Un résultat d’analyse virologique négatif à l’introduction permet de savoir si l’animal est sain.
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Vrai
Il faut malgré tout rester vigilant vis-à-vis des animaux introduits gestants car le statut BVD du fœtus ne peut être garanti. Seule l’analyse après naissance permet de définir le statut du veau.
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L’achat est la seule porte d’entrée du virus BVD en élevage.
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Faux
Le voisinage de parc fait partie des portes d’entrée principale du virus. Les mouvements et regroupements d’animaux sont à risque également.
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Un animal IPI peut guérir.
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Faux
Un animal IPI peut guérir.
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Un animal sain reste NON IPI toute sa vie.
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Vrai
Un animal né sain ne deviendra jamais IPI par contre il est possible qu’il soit infecté transitoire s’il rencontre le virus (quelques semaines uniquement) et donc contagieux pendant cette période.
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Un animal positif à la recherche virale BVD est d'office IPI.
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Faux
Un IPI sera toujours positif à la recherche virale, mais ce test unique positif ne veut pas systématiquement dire qu’il s’agit d’un IPI.
Pour confirmer le caractère persistant de l’infection, il faut tester l’animal à nouveau un mois plus tard. S’il est toujours positif, il s’agit bien d’un IPI. -
Un IPI est négatif en anticorps BVD.
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Vrai
En effet, un IPI ne développe pas de réponse immunitaire contre le virus de la BVD (= immunotolérant).
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L'animal IPI est le plus petit du lot.
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Faux
Un IPI peut très bien sembler en bonne santé. Il peut même être de très bonne conformation.
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Une vache doit être IPI pour donner naissance à un veau IPI.
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Faux
Un veau peut naître IPI dans 2 cas de figure :
- sa mère est IPI ;
- sa mère n’est pas IPI mais s’est fait infecter par le virus de la BVD entre le 30ème et le 125ème jour de gestation. Le fœtus qu’elle porte à ce moment-là peut donc devenir IPI.
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Une vache IPI donnera toujours naissance à un veau IPI.
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Vrai
Mais ce n’est pas parce qu’un veau est IPI que sa mère est forcément IPI !
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Un IPI meurt toujours jeune.
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Faux
L’espérance de vie des IPI est plus courte que celle des bovins non IPI mais certains d’entre eux peuvent atteindre l’âge adulte en apparente bonne santé.