Henri WILLEM et Sylvain WEBER
19 décembre 2016 |
Nous avons conscience d’être exposés à la BVD, notamment parce que nous ne maitrisons pas les risques de contamination en pâture. Nous vaccinions déjà les femelles depuis plusieurs années. Nous sommes en agriculture biologique et en matière de sanitaire, nous préférons anticiper et prévenir plutôt que de soigner nos animaux malades.
Début 2016, nous avons commencé à dépister nos veaux. Nous avons trouvé des IPI issues de vaches en fin de protection vaccinale. Grâce au dépistage à la naissance, nous avons pu détecter ces animaux rapidement pour les éliminer sans attendre.